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Bataille de la Sambre - Partis avant d'avoir tout dit

Partis avant d’avoir tout dit.
 
« Ils avaient le cœur en bleu
Ils avaient le temps, la vie devant eux
Mais l'éclair, le tonnerre leur a fauché
Leur jeunesse et leurs idées. » - Pierre Bachelet.
 
A Le Roux et à la Belle-Motte, ce week-end des 20 et 21 août 2011 fut marqué par deux journées riches en hommage et de Mémoire. Le comité du Souvenir a veillé à une organisation parfaite qui est la marque de respect d’abord envers ceux qui ont sacrifiés leur jeunesse pour notre liberté, ensuite envers l’ensemble des invités venus de l’hexagone très nombreux cette année.
 
Le transfert de la Croix bretonne du Sous-lieutenant Georges Cotelle.
 
L'inauguration d'un monument est sans doute devenue à notre époque une manifestation exceptionnelle, insolite, voire ringarde pour certains. Pourtant ce samedi 20 août 2011, près de 200 personnes se sont données rendez-vous au lieu-dit « les Bruyères », un lieu que l’on pourrait appeler « au cœur des monts roveliens ». Sur cette plaine de la Belle-Motte, et au centre même des combats du 22 août 1914, un Espace de la Mémoire des Combats de la Belle-Motte a été inauguré. Il a également accueilli le transfert de la Croix bretonne du Sous-lieutenant Georges Cotelle.
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Les anciens du village, ceux qui connaissent bien son Histoire, savaient, bien entendu, que dans le hameau du Lotria, au lieu-dit « Closière Grosjean », s’élevait une croix à la mémoire de cet Officier du 25e Régiment d’infanterie de Cherbourg. Jusque là rien d’anormal, mais lorsqu’on y regarde à deux fois, oui !
 
Implantée dans de verts pâturages au siècle passé par la famille Cotelle en hommage à leur fils Georges, mort sur le champ d’honneur en août 1914, elle était aujourd’hui perdue au milieu de cultures agraires. Son accès était devenu inabordable et dangereux par un sentier escarpé d’ornières tracées par les lourds engins agricoles. L’idée d’un transfert a fait son chemin tant et si bien que les membres du comité du Souvenir ont réfléchi et sont arrivés à une issue favorable pour ce déménagement au cœur des combats. Cela a bien été étudié et pour le réaliser a bénéficié de l’aide financière du « Petit patrimoine populaire » de la Région wallonne qui souhaite revaloriser les monuments mémoriels et le concours de la ville de Fosses-la-Ville.
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La population du village et de très nombreuses familles et délégations venues de Bretagne, de Normandie, de la Somme et du Pas-de-Calais ont répondu à l’invitation du comité du Souvenir. Elles sont originaires des villes de Courseulles-sur-Mer, Fay, Guingamp, Hirel, Loudéac, Quessoy, Mont-Bernenchon, Vieux-Viel, Cherbourg et Rouen. Les autorités locales et les associations patriotiques des villes d’Aiseau-Presles et de Fosses-la-Ville se sont associées en force à cet événement.
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Un cérémonial parfaitement orchestré en toute sérénité, sans nul doute à l'image de l'esprit du comité du Souvenir de Le Roux, a servi de fil conducteur pour cette inauguration, avec la participation de Rose-Marie Legrain, conteuse, la chorale Saint-Martin de Fosses-la-Ville sous la direction de Jean-François Favresse et le concours de Dany Bastin à la cornemuse.
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Après l’inauguration officielle par M. Benoît Spineux, bourgmestre, et Mme Anny Batardy, 1e Echevine de Fosses-la-Ville, suivie de la bénédiction de l’ouvrage d’art par l’abbé Genard, curé émérite de la paroisse, des fleurs ont été déposées au pied de la Croix Bretonne par MM. Benoît Spineux, Bourgmestre de Fosses-la-Ville, Jean-Claude Hamel, président du Souvenir Français de Cherbourg, Christian Chabot, président du comité du Souvenir, et le jeune Martin qui parraine la tombe du SLt Cotelle à la Belle-Motte.
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En clôture de la cérémonie, les participants ont pu réentendre, avec une grande émotion, la voix du Soldat du Souvenir, Ernest Cotelle, père de notre Officier, qui avait enregistré en 1931 son message de la Belle-Motte sur un vinyle 78 tours.
 
Evocation des petits gars du 25ème régiment d’infanterie et de leur chef
le sous-lieutenant Georges Cotelle par Rose-Marie Legrain.
 
Les vivants et les morts
« Les vrais vaincus de la guerre, ce sont les morts (E. Renan) »
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600.
Ils sont plus de 600 jeunes Français, tombés sous le ciel de Belgique, ici à Le Roux.
C’est peu, 600, au regard des millions d’hommes victimes de la Grande Boucherie.
Mais un seul homme qui meurt en guerre, c’est un mort de trop.
Il n’y a pas de guerre glorieuse, il n’y a que du chagrin.
 
Pour un soldat, parfois presque un gamin, qui meurt sous les balles, à l’aube de sa vie, il y a des mères qui porteront le deuil à perpétuité, des fiancées qui se faneront dans la solitude, des petits enfants orphelins d’un père mort en héros, peut-être, et dont on leur dit qu’ils doivent en être fiers, mais qui ne sera pour eux qu’un visage toujours jeune sur une photo dont les contours vont s’effacer, petit à petit…
 
Certains sont partis la fleur au fusil, un peu comme on part en vacances.
Parfois, ils sont heureux, aussi, de servir la Patrie. Ils ne savent pas encore qu’ils vont entrer en enfer.
Georges Cotelle est de ceux là.
 
A ses parents, il écrit : « Tout est fini maintenant, je suis en tenue de départ. Je n’ai jamais été aussi heureux… ».
 
Il faut dire que lui est préparé au combat, puisqu’il est diplômé de l’Ecole Militaire de Saint-Cyr.
 
Il exhorte ses parents à être aussi heureux que lui, à ne pas s’inquiéter…comme si on pouvait, le cœur léger, voir les enfants que l’on a bercés, que l’on a veillé lorsqu’ils avaient une vilaine fièvre, comme si on pouvait les voir partir vers la Mangeuse d’hommes !
 
C’était un bel été, comme on n’en n’avait plus connu depuis longtemps, le ciel était d’un bleu parfait…et pourtant, le monde était devenu fou, rempli de bruit et de fureur, sans pitié et sans compassion pour la douleur des humbles.
Mais porté pas son idéal, Georges traverse la France avec, comme il l’écrira encore « le cœur plein d’entrain et de vaillance »…
 
Après plusieurs jours de marche, le 18 août, Georges est en Belgique.
Toujours confiant, toujours sûr de servir une juste cause, sans peur.
 
Le 22 août, le ciel s’est obscurci, une brume descend sur la Sambre.
La Sambre, qui relie la France à la Belgique, calme et tranquille, va être le théâtre d’une tragédie qui va voir aussi le massacre de centaines de civils innocents.
La rivière coule doucement, étrangère au malheur des hommes et au sang qui va couler, pour elle.
 
A la fin de la matinée du 22 août, après une bataille perdue, les « poilus » doivent se retirer.
 
Mais il faut protéger leur retraite ; ordre est donc donné au 3e Bataillon du 25e de tenir, coûte que coûte…
 
C’est sur le plateau de la Belle-Motte, au nom si joli et évocateur de promenades à la campagne, de vie heureuse, qui deviendra hélas synonyme de douleur et de deuil, que Georges Cotelle et ses hommes vont creuser à la hâte des tranchées, pour s’y terrer.
 
Parce que la Grande Guerre, c’est ça, et rien que cela : des hommes enterrés comme des rats dans la boue, la peur au ventre, la mort des camarades avec qui on a marché pendant des semaines et des semaines, un déluge de feu qui s’abat, des corps éclatés et des membres épars…rien de glorieux, seulement du désespoir.
 
Peut-être qu’à ce moment, le jeune Georges connaît le doute. Peut-être. Sûrement.
 
C’est le 22 août. Pour ceux qui ne savent pas encore, c’est une journée comme toutes les autres. Pour les hommes qui se battent sur les rives de la Sambre, c’est un jour de mort.
 
Donc, Il fait brouillard ce matin là, les hommes harassés comprennent qu’ils ne pourront pas tenir longtemps,… mais non, il faut rester encore, dans le bruit assourdissant des canons, sous les balles qui sifflent…tenir encore.
 
 
Ils sont face à face, des hommes, jeunes, braves, des deux côtés d’un même monde devenu fou, et qui ne savent pas très bien pourquoi il faut tuer ; eux, ils auraient préféré rester au pays, pour cultiver la terre et vivre au rythme des saisons.
Peut-être qu’en temps de paix, ils auraient pu être amis…
 
Le Lieutenant Georges Cotelle est debout, exhortant ses compagnons au courage. Il sent à peine la brûlure d’une balle qui vient de lui entamer le bras. Puis une autre douleur, terrible, au ventre.
 
Il aurait voulu rester debout, continuer à se battre, mais…
Il faut du temps, parfois, pour s’endormir, du temps pour mourir…
 
Il aurait pu retourner au pays, bien sûr, rentrer chez lui.
Il est resté où il est tombé, inhumé ici, avec ses hommes. 
 
Longtemps, son père est venu saluer sa mémoire.
 
Un homme qui avait vu naître deux fils, pour qui il avait rêvé une longue vie avec une belle famille, et qui sont tous deux au tombeau.
Le père, mort lui aussi un 22 août, repose auprès du fils.
 
En temps de paix, les fils ensevelissent leurs pères ; en temps de guerre, les pères ensevelissent leurs fils (Hérodote)
 
Nous avons ici le triste privilège d’avoir pour monuments les grands cimetières, les nécropoles, témoins d’un carnage effroyable.
Ce sont des lieux d’une mémoire qui doit rester vive, afin d’apprendre aux générations futures la Paix.
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Mourir à vingt ans(Rose-Marie Legrain)
 
Nous sommes des milliers.
Nous sommes innombrables, couchés côte à côte, pour l’éternité, plus proches que des frères, gamins de vingt ans, sacrifiés.
 
Qui, aujourd’hui, peut imaginer, dans ce parc tranquille, ordonné, fleuri, qui peut imaginer la boucherie, le carnage. Qui peut aujourd’hui ressentir la peur qui fut la nôtre. Et ce désespoir, et cette colère, de mourir à vingt ans.
 
Nous sommes partis, joyeux parfois, pour une guerre qui ne durerait pas. Vêtus de couleurs, nous avons été des cibles idéales, des jouets que des fous, au nom de la patrie, ont avancé sur leur échiquier, comme des soldats de plomb !
Mais les petits soldats avaient une famille, des parents qui attendaient, des sœurs désespérées et des petits enfants qui ne diront jamais Papa…
 
Tout contre ma croix, il y a le croissant de Mohammed.
Mon plus que frère. Oh, au début, on s’est bien un peu moqué de son accent, de sa couleur…
Et puis, un jour, il m’a raconté son désert, et sa mère, qui attendait.
Il n’a jamais compris pourquoi il était là, ce n’était pas sa terre, ce n’était pas sa guerre.
Il n’a pas reculé, pourtant, ce jour là…
Nous sommes tombés ensemble, sous ce ciel de Belgique, qui ressemble au ciel de France.
 
Nous sommes tranquilles, maintenant… Des petits enfants viennent, parfois…
Est il vraiment bien de leur mettre, si tôt, ce chagrin sur les épaules ? Nous sommes de vieux morts, maintenant.
 
Un jour, une vieille dame s’est penchée sur ma tombe.
Elle ressemblait à ma grand-mère.
C’était ma fille.
Une petite fille aux cheveux gris qui se recueille sur la tombe d’un père de vingt ans.
Je ne savais pas, en partant, que Louise attendait un petit.
 
Si je l’avais su, peut-être que…je ne sais pas moi, peut-être que j’aurais été plus fort, plus cruel peut-être.
Je ne sais pas.
La guerre, c’est ça : des milliers, des millions d’enfants qui n’auront de leur père qu’un nom sur une tombe, parfois, et un visage toujours jeune sur une photo jaunie.
 
Après si longtemps, elle est venue, ma fille.
Voilà que ça me fait tout drôle, me voilà père, moi qui ai à peine eu le temps d’être un fils.
Elle m’a raconté, la vie d’après, une guerre, encore, et des chagrins toujours…et puis quelques bonheurs, et des petits enfants.
Peut-être que l’un d’eux me ressemble.
C’est bien qu’il vive en paix.
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Les discours prononcés à l’occasion de l’inauguration :
Par Christian Chabot, président du Comité du Souvenir : en attente d'être transmis au webmaster.
Celui de Mme Anny Batardy, 1e Echevine de Fosses-la-Ville en charge de l’Association patriotique :
http://25eri.comitedusouvenirdeleroux.be/articles.php?lng=fr&pg=77
 
Imprimez également la plaquette illustrant les combats de la Belle-Motte le 22 août 1914 :
Les_Combats_de_la_Belle-Motte.pdf

Un lieu d’honneur : la Nécropole militaire de la Belle-Motte
 
Le rendez-vous est immuable : l’avant dernier dimanche du mois d’août, nombreux sont-ils les pèlerins qui rejoignent la Belle-Motte. Ce dimanche 21 août 2011, le ciel est bleu et le soleil brille sur les croix blanches du cimetière, sur les tombes de ces soldats qui ont rencontré le long de la Sambre leur destin, loin d’une terre qu’ils avaient quittée pour défendre notre liberté.
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La cérémonie sera présidée par le Général de brigade Christophe de Gouttes et le Colonel d’Aviation BEM Michel Colles, représentants les ministres de la Défense française et belge. Une escouade en armes du 3e Génie de Charleville et un peloton en armes du 2e Wing tactique de Florennes représentent les forces armées de nos deux pays. Les trompettes de la Force aérienne, l’Harmonie Royale l’Union de Fraire et Dany Bastin à la cornemuse prêtent leur concours musical.
 
On note la présence du Député provincial Luc Delire qui représente le Gouverneur de la Province de Namur, Monsieur Christian Girodo, Consul général-adjoint de France à Bruxelles, le Colonel d’Aviation Pierre Bancu, Commandant militaire de la Province de Hainaut, le Colonel Claude Michel, Délégué général du Souvenir Français pour la Belgique, M. Jean-Claude Galetta, Commissaire divisionnaire de la zone de police Entre-Sambre-et-Meuse, et l’Association Mondement 1914 avec son président Michel Tellier qui ont rejoints les personnalités et délégations de la veille. Une très forte délégation de Givet conduite par Gabrielle Viesville, la présidente du Souvenir Français, a fait le déplacement en car.
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Christine Debrulle est au micro pour commenter le cérémonial. La cérémonie peut commencer. Perpétuelle, elle débute par la voix de Pierre Bachelet « Souvenez-Vous », suivie du lever des couleurs belges et françaises, le rappel historique des événements du mois d’août 1914, l’appel aux morts et les dépôts des gerbes de fleurs par les différentes autorités, la minute de silence conclue par les hymnes nationaux. Cérémonial invariable mais profond, rempli d’émotion du début à la fin. MM. Jean Fersini, nouveau bourgmestre d’Aiseau-Presles, Pauline Charles et Jean-Claude Hamel prendront successivement la parole pour transmettre les messages de la ville, de la jeunesse et de la France.
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Les enfants sont nombreux également. Ils sont venus parrainer la tombe d’un soldat. Cette année, 350 tombes seront adoptées et fleuries d’un bouton de rose.Ce moment est aussi l'occasion de rappeler les souvenirs qui unissent les générations actuelles, les unes aux autres, l’inter-génération….
 
 
Un retour à l’Histoire.
A cette occasion, revenons 80 ans en arrière pour vous livrer la lecture d’un extrait du discours prononcé à la Belle-Motte par Ernest Cotelle, père du S-Lt, le dimanche 23 août 1931 :
 
« Je comptais avoir l’insigne honneur de saluer en monsieur le Général Anthoine, un grand soldat de France, les Amitiés françaises de Tamines, merveilleux agent de liaison entre deux peuples alliés d’hier et amis de toujours et pour toujours, trait d’union entre les 400 fusillés de Tamines et les 4000 morts de Belle-Motte. Pour des raisons imprévues de santé, Monsieur le Général Anthoine a été obligé de renoncé à son projet et nous le regrettons avec lui.
 
A défaut d’un Général, nous avons en revanche un Caporal, mais pas un Caporal quelconque, un de ces poilus de 1914 qui, sous les ordres et aux côtés du S/Lt Cotelle, se battit vaillamment sur ce plateau, derrière cette rangée de maisons du village de Lotria, dans la minuscule tranchée de la Closière Grosjean. Pour la seconde fois, mon cher Monsieur Girard, vous avez tenu à venir visiter les tombes de vos camarades du 25ème Rgt d’Infanterie, je vous en félicite et je vous remercie. Avec une particulière affection et vous n’en serez pas jaloux, Commandant Lapadu-Hargue, tout est grand, l’esprit de solidarité et de fraternité unissant officiers et soldats de l’armée française – avec une particulière affection, dis-je, le papa du S/Lt Cotelle salue votre présence ici ; mais quelle ne sera pas son émotion – et la vôtre aussi n’est-ce pas ? – quand demain, après la messe de Requiem célébrée en l’église de Le Roux, tous les deux, moi le père, vous le soldat, nous assisterons à la bénédiction et à l’inauguration de la Croix de pierre offerte à la mémoire du S/Lt Cotelle et de ses hommes sur un terrain arrosé de leur sang et désormais bien à eux, grâce à la non moins admirable et désormais bien à eux, grâce à la non moins admirable générosité des propriétaires du sol.
 
Pieuse cérémonie, Mesdames et Messieurs, geste joli que tiendra à souligner, je l’espère une nombreuse assistance. »
 
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Remerciements : un tel événement ne peut-être réussi sans le concours de nombreux bénévoles encadrant le comité exécutif. Nous remercions : Mmes Céline Godenne, Yolande Barbier et Marie-Christine Hanchard, MM. Amaury Bauret, Pierre-Michel De Keyn, Pierre et Thomas Denis, Willy Duchêne, Jacques Hennin, Sébastien Rousselle, Michel Sandron et son épouse Betty, et Lucien Stiernet. Nos remerciements s’adressent également au Docteur Jean Charles, aux bénévoles des services de la Croix-Rouge et aux équipes techniques des villes d’Aiseau-Presles et de Fosses-la-Ville pour l’encadrement et la mise en place logistique.
 
Daniel TILMANT

La presse régionale était présente pour couvrir l'événement. Découvrez les reportages du journal namurois " L'Avenir " édition Vivre en Basse-Sambre, en cliquant sur les liens ci-dessous :

L_Avenir_16_08_2011_Le_Roux.pdf
L_Avenir_22_08_2011_Belle_Motte.pdf
L_Avenir_24_08_2011_Belle_Motte.pdf

La ville de Tamines s'est souvenue de son Martyr du 22 août 1914 :
L_Avenir_24_08_2011_Tamines.pdf
 
Date de publication sur le site : 25.08.2011

Date de création : 03/05/2017 @ 15:42
Dernière modification : 09/05/2017 @ 09:39
Catégorie : Bataille de la Sambre

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